jeudi 29 janvier 2015

La Fin Du Hasard – Réponse choc de la science moderne face à l’athéisme

La vérité dérange!
L'homme est prêt à accepter toutes les absurdités possibles et inimaginables, pourvu que la vérité qui le dérange ne soit pas révélé.
Dire que le hasard est le commencement du monde, ne dérange personne. Ca fait juste de nous de grands crétins !
Dire que  Dieu est au commencement de toutes choses, ca dérange, parce que si c'est Lui, nous auront à lui rendre des comptes !!
 

 
Source: rencontrerdieu.com
 
Publié par: Ivan Thévoz

Le piège en or de Vladimir Poutine



Par Dmitry Kalinichenko – Le 26 décembre 2014

Très peu de gens comprennent ce que fait Vladimir Poutine actuellement.  Et presque personne ne comprend ce qu’il va faire dans les temps à venir.  Tout aussi étrange que cela puisse paraître, mais, d’ores et déjà, Poutine ne vend du pétrole et du gaz naturel de la Russie qu’en échange d’or physique.
Poutine ne le crie pas sur les toits.  Et, bien sûr, il accepte toujours les dollars US comme moyen intermédiaire de paiement.  Mais, il échange illico tous ces dollars obtenus de la vente de pétrole et de gaz naturel pour de l’or physique !
Afin de le comprendre, il suffit de regarder la dynamique de croissance des réserves en or de la Russie et de comparer ces données aux revenus d’échanges monétaires de la Fédération de Russie provenant de la vente de pétrole et de gaz naturel sur la même période.
En outre, au troisième trimestre, les achats par la Russie d’or physique sont au plus haut niveau jamais atteint.  Au troisième trimestre de cette année, la Russie avait acheté une quantité phénoménale d’or, à la hauteur de 55 tonnes.  C’est plus que toutes les banques centrales de tous les pays du monde au même moment (selon les données officielles) !
Au total, les banques centrales de tous les pays du monde ont acheté 93 tonnes du métal précieux au troisième trimestre de 2014.  C’était le quinzième trimestre consécutif d’achats nets d’or par des banques centrales.  Des 93 tonnes d’achats d’or par des banques centrales autour du monde durant cette période, le montant le plus conséquent d’achats, 55 tonnes, appartient à la Russie.
Il n’y a pas si longtemps, des scientifiques britanniques sont parvenus avec succès à la même conclusion que celle qui fut publiée il y a quelques années dans la Conclusion de l’US Geological Survey.  C’est-à-dire : L’Europe ne parviendra pas à survivre sans approvisionnement énergétique provenant de la Russie.  Traduit de l’anglais dans n’importe quelle langue, cela signifie : « Le monde ne parviendra pas à survivre si le pétrole et le gaz naturel de la Russie sont soustraits à la balance globale d’approvisionnements en énergie ».
Ainsi, le monde occidental construit sur l’hégémonie du pétrodollar est dans une situation catastrophique, dans laquelle il ne peut survivre sans approvisionnements énergétiques en provenance de la Russie.  Et, la Russie n’est maintenant prête à vendre son pétrole et son gaz naturel à l’Occident qu’en échange d’or physique !  Le piège dans le jeu de Poutine, c’est que le mécanisme de vente d’énergies russes à l’Occident uniquement en échange d’or fonctionne déjà, que l’Occident veuille ou non payer pour le pétrole et le gaz naturel de la Russie avec son or artificiellement peu cher.
Puisque la Russie dispose d’un flux constant de dollars de la vente de pétrole et de gaz naturel, elle parviendra à convertir ces dollars pour acheter de l’or au prix actuel, tiré vers le bas de toutes les façons par l’Occident.  Ceci équilibre le prix de l’or, qui avait été artificiellement et méticuleusement abaissé par la Fed et l’ESF (Fonds de Stabilisation des Échanges) à plusieurs reprises… par le pouvoir d’achat artificiellement gonflé du dollar à travers la manipulation des marchés.
Fait intéressant : La manipulation à la baisse des cours de l’or par cette administration spéciale du gouvernement US, l’ESF, en vue de stabiliser la valeur du dollar est devenue une loi aux États-Unis.
Dans le monde financier, il est généralement considéré que l’or est anti-dollar… c’est-à-dire que le prix de l’or est inversement proportionnel à la valeur du dollar.
En 1971, le Président des États-Unis, Richard Nixon, avait fermé la « fenêtre de l’or », mettant ainsi fin au libre échange de dollars pour de l’or, garanti par les États-Unis en 1944 aux accords de Bretton Woods.
En 2014, le Président de la Russie, Vladimir Poutine, a ré-ouvert la « fenêtre de l’or », sans en demander la permission à Washington.
En ce moment, l’Occident dépense une bonne partie de ses forces et de ses ressources pour tirer vers le bas les prix de l’or et du pétrole.  Ainsi donc, d’une part pour distordre la réalité économique existante en faveur du dollar US… et d’autre part, pour détruire l’économie russe, qui refuse de jouer le rôle de vassal obéissant de l’Occident.
Aujourd’hui, des biens tels que l’or et le pétrole semblent proportionnellement affaiblis et excessivement sous-évalués face au dollar US.  C’est la conséquence d’un énorme effort économique de la part de l’Occident.
Et, désormais, Vladimir Poutine vend les ressources énergétiques russes en échange de ces dollars US, artificiellement soutenus par les efforts de l’Occident.  Avec ces dollars produits par les ventes, Vladimir Poutine achète immédiatement de l’or, artificiellement dévalué contre le dollar US par les efforts de l’Occident lui-même !
Il y a un autre élément intéressant dans le jeu de Vladimir Poutine.  C’est l’uranium russe.  Une ampoule sur six aux États-Unis dépend de cet approvisionnement, que la Russie vend également aux États-Unis … pour des dollars.
Donc, en échange du pétrole, du gaz naturel et de l’uranium en provenance de la Russie, l’Occident paye la Russie avec des dollars US, dont le pouvoir d’achat est artificiellement gonflé vis-à-vis de l’or et du pétrole par les manipulations de l’Occident.  Cependant, Vladimir Poutine ne se sert de ces dollars que pour soustraire de l’or physique à l’Occident en échange d’un prix défini en dollars US, artificiellement abaissé par le même Occident.
Cette combinaison économique véritablement brillante de la part de Vladimir Poutine met l’Occident, dirigé par les États-Unis, dans la position d’un serpent dévorant agressivement et diligemment sa propre queue.
L’idée de ce piège économique en or pour l’Occident n’a probablement pas son origine chez Vladimir Poutine lui-même.  C’est plus sûrement l’idée du conseiller en affaires économiques de Poutine, le Dr Sergey Glazyev.  Sinon, pourquoi le bureaucrate Sergey Glazyev, sensiblement sans implication dans le monde des affaires, a-t-il été, avec beaucoup d’hommes d’affaires russes, personnellement inclus dans la liste des personnes sanctionnées par Washington ?  L’idée d’un économiste, le Dr Sergey Glazyev, a été brillamment exécutée par Vladimir Poutine… mais, avec tout l’aval de son collègue chinois, Xi Jinping.
Dans ce contexte, la déclaration de novembre du premier Président Adjoint de la Banque Centrale de Russie, Ksenia Yudaeva, semble particulièrement intéressante. Elle a souligné que le cas échéant, la Banque Centrale de la Russie pouvait se servir de l’or dans ses réserves pour payer ses importations.  Il est évident qu’au regard des sanctions du monde occidental, cette déclaration est adressée aux pays des BRICS, dont le premier est la Chine.  Pour la Chine, la disposition de la Russie de payer des biens avec de l’or occidental est très commode.  Et voici pourquoi :
La Chine a récemment annoncé qu’elle allait cesser d’augmenter ses réserves d’or et de monnaie sous dénomination des dollars US.  Prenant en considération le déficit commercial croissant entre les États-Unis et la Chine (la différence actuelle est d’un facteur de cinq fois en faveur de la Chine), alors cette déclaration traduite dans le jargon financier signifie : « La Chine arrête de vendre ses  marchandises pour des dollars ».  Les médias mondiaux ont choisi de ne pas prêter attention à cet événement monétaire qui a marqué l’histoire récente.  Le sujet n’est pas que la Chine refuse littéralement de vendre ses marchandises pour des dollars US.  La Chine, bien entendu, continuera à accepter des dollars US comme moyen intermédiaire de paiement pour ses marchandises.  Mais, ayant pris les dollars, la Chine s’en débarrassera immédiatement et les remplacera par autre chose, dans la structure de ses réserves en or et en monnaie.  Sinon, la déclaration faite par les autorités monétaires chinoises perd son sens : « Nous arrêtons l’augmentation de nos réserves d’or et de monnaie, sous dénomination des dollars ».  Cela veut dire que la Chine n’achètera plus de Bons du Trésor des États-Unis avec des dollars acquis par le commerce avec n’importe quel pays, comme elle le faisait auparavant.
Ainsi, la Chine remplacera tous les dollars qu’elle recevra dorénavant pour ses marchandises, non seulement des États-Unis mais du monde entier, par quelque chose d’autre, pour ne pas augmenter ses réserves d’or et de monnaies définies en dollars.  Et, voici une question intéressante : Par quoi la Chine va-t-elle remplacer tous les dollars issus de son commerce ?  Par quelle monnaie ou quel bien ? L’analyse de l’actuelle politique monétaire chinoise démontre certainement que les dollars provenant du commerce, ou une portion substantielle d’entre eux, la Chine va les remplacer discrètement, et elle le fait déjà de facto, par de l’or.
De ce point de vue, la partie de solitaire des relations russo-chinoises est extrêmement profitable à la fois pour Moscou et pour Beijing.  La Russie achète des marchandises à la Chine directement pour de l’or à son prix actuel.  Tandis que la Chine achète des ressources énergétiques russes pour de l’or à son prix actuel. Dans ce festival de la vie russo-chinoise, il y a de la place pour tout : Des marchandises chinoises, des ressources énergétiques russes, de l’or, comme moyen de paiement mutuel.  Seul le dollar US n’a aucune place dans ce festival de la vie. Et, ce n’est pas surprenant.  Parce que le dollar US n’est pas un produit chinois où une ressource énergétique russe.  Ce n’est qu’un moyen intermédiaire de règlement  et un intermédiaire superflu.  Et, il est de coutume d’exclure les intermédiaires superflus des interactions entre deux partenaires commerciaux indépendants.
Par ailleurs, il est important de noter que le marché global pour l’or physique est extrêmement petit en comparaison au marché mondial des ressources pétrolières physiques.  Et surtout, le marché global pour l’or physique est microscopique en comparaison à la totalité des marchés mondiaux de livraisons de pétrole, de gaz naturel, d’uranium et de marchandises.
L’accent est mis sur les mots « or physique » pas « sur le papier », parce qu’en échange de ses ressources énergétiques physiques la Russie soustrait aujourd’hui de l’or à l’Occident, mais seulement sous son aspect physique, pas « sur le papier ».  La Chine accomplit la même chose en recevant de l’Occident de l’or physique artificiellement dévalué comme paiement pour la livraison de marchandises réelles à l’Occident.
Les espérances entretenues par l’Occident que la Russie et la Chine veuillent bien accepter comme paiement pour leurs ressources énergétiques et leurs marchandises de la … « monnaie de singe » ou « or sur le papier » sous quelque forme que ce soit, n’ont pas prospéré.  La Russie et la Chine ne sont intéressées que par de l’or tangible, et seulement le métal physique, comme moyen final de paiement.
Comme référence: Le roulement du marché de l’or sur le papier, ou uniquement d’options sur l’or, est estimé à $360 milliards par mois.  Mais les livraisons physiques d’or ne représentent que $280 millions par mois.  Ceci donne un ratio d’échange d’or sur papier face à l’or physique de 1000 pour 1.
En utilisant le mécanisme de retrait actif du marché d’un bien financier (l’or) artificiellement dévalué par l’Occident en échange d’un autre bien financier (USD) artificiellement surévalué par l’Occident, Vladimir Poutine a ainsi démarré le compte à rebours qui mènera à la fin de l’hégémonie planétaire du pétrodollar.  De cette manière, Vladimir Poutine a placé l’Occident dans un étau, en l’absence de perspectives économiques saines.
L’Occident ne peut dépenser tant d’efforts et de ressources pour augmenter artificiellement le pouvoir d’achat du dollar, abaisser les prix du pétrole et artificiellement dévaluer le pouvoir d’achat de l’or.  Le problème de l’Occident est que ses stocks d’or physique en sa possession ne sont pas inépuisables.  Par conséquent, plus l’Occident dévalue le pétrole et l’or contre le dollar US, plus rapidement il perdra l’or dévalué de ses réserves qui ne sont pas infinies.
Dans cette combinaison économique brillamment jouée par Vladimir Poutine, l’or physique des réserves de l’Occident afflue rapidement vers la Russie, la Chine, le Brésil, le Kazakhstan et l’Inde (c’est-à-dire les pays des BRICS).  Au rythme actuel de réduction des réserves d’or physique, l’Occident n’a tout simplement pas le temps de faire quoi que ce soit contre la Russie de Poutine jusqu’à l’effondrement de tout le monde occidental du pétrodollar.  Avec ces échecs, la situation dans laquelle Vladimir Poutine a placé l’Occident, dirigé par les États-Unis, est celle du « problème de temps ».
Le monde occidental n’a jamais affronté des événements et des phénomènes économiques comme ceux qui se produisent en ce moment.  L’ancienne URSS a rapidement vendu son or pendant la chute des prix de l’or.  Aujourd’hui, la Russie achète rapidement l’or pendant la chute des prix du pétrole.  Ainsi, la Russie pose une réelle menace au modèle des États-Unis de la domination du monde par le pétrodollar.
Le principe essentiel du modèle du monde, selon le pétrodollar, est de permettre aux pays occidentaux, dirigés par les États-Unis, de vivre aux dépens du labeur et des ressources d’autres pays … sur la base du rôle dominant de la monnaie US dans le Système Monétaire International (SMI).  Le rôle du dollar US dans le Système Monétaire International est qu’il est le mode ultime de paiement.  Ceci signifie que la monnaie nationale des États-Unis, dans la structure du Système Monétaire International, est l’ultime accumulateur de biens, en face duquel l’échange de n’importe quel autre bien n’a pas de sens.
Emmenés par la Russie et la Chine, ce que font actuellement les BRICS est en réalité de changer le rôle du dollar US dans le SMI.  De l’ultime mode de paiement et d’accumulations de biens, la monnaie nationale des États-Unis, par le biais des actions conjointes de Moscou et de Beijing, ne devient rien de plus qu’un moyen intermédiaire de paiement, dont l’usage n’est entendu que pour l’échange de ce moyen de paiement intermédiaire pour un autre et le bien financier ultime, l’or. Ainsi, le dollar US perd en réalité son rôle comme mode ultime de paiement et d’accumulations de biens, cédant ces deux rôles à un autre bien monétaire reconnu, dénationalisé et dépolitisé, l’OR !
Traditionnellement, l’Occident a utilisé deux méthodes pour éliminer les menaces à l’hégémonie du modèle du pétrodollar dans le monde, et aux privilèges excessifs pour l’Occident qui en ont découlé :
Une de ces méthodes était celle des révolutions colorées.  La seconde méthode, qui était habituellement employée par l’Occident si la première échouait, c’était l’agression militaire et les bombardements.
Mais, dans le cas de la Russie, ces deux méthodes sont soit impossibles soit inacceptables pour l’Occident.
Tout d’abord, parce que la population russe, contrairement aux populations de beaucoup d’autres pays, ne désire pas échanger sa liberté et l’avenir de ses enfants pour de la kielbasa occidentale (saucisse à la viande).  Ceci est évident avec les taux d’approbation records pour Vladimir Poutine, régulièrement publiés par les plus grandes agences de sondages occidentales.  L’amitié personnelle du protégé de Washington, Navalny (opposant politique de Vladimir Poutine), avec le Sénateur John McCain a joué pour lui un rôle particulièrement néfaste.  Ayant appris ce fait par les médias, 98% de la population russe ne perçoit désormais Navalny que comme un vassal de Washington et un traître pour les intérêts nationaux russes.  Donc les professionnels occidentaux, qui n’ont pas encore perdu l’esprit, ne peuvent rêver d’une quelconque révolution colorée en Russie.
Pour ce qui est de la seconde méthode traditionnelle, l’agression militaire directe, la Russie n’est sûrement pas la Yougoslavie, l’Irak ou la Libye.  Dans toute opération militaire non-nucléaire contre la Russie, sur le territoire de la Russie, l’Occident, dirigé par les États-Unis, est condamné à la défaite.  Et, les généraux du Pentagone, qui exercent le vrai commandement des forces de l’OTAN, en sont conscients.  Une guerre nucléaire contre la Russie serait tout aussi désespérée, y compris le concept d’une prétendue « frappe nucléaire préventive ».  L’OTAN ne serait tout simplement pas techniquement capable de frapper un grand coup pour désarmer le potentiel nucléaire de la Russie dans toutes ses manifestations.  Une frappe nucléaire massive en représailles contre l’ennemi ou un éventail d’ennemis serait inévitable.  Et, sa puissance totale suffirait pour que les survivants envient les morts.  Alors, un échange nucléaire avec un pays comme la Russie n’est pas une solution au problème imminent de l’effondrement du monde du pétrodollar.  C’est, dans le meilleur des cas, un dernier recours et le dernier point de l’histoire de son existence.  Dans le pire des cas, un hiver nucléaire et la ruine de toute vie sur la planète, à l’exception des bactéries qui auront muté à cause des radiations.
L’establishment économique occidental peut voir et comprendre l’essence de la situation.  Des économistes occidentaux éminents sont certainement conscients de la gravité du problème et du désespoir de l’impasse dans laquelle se trouve le monde occidental, dans le piège doré de Vladimir Poutine.  Après tout, depuis les accords de Bretton Woods, nous connaissons tous la règle d’or en vigueur : « Celui qui possède plus d’or impose les règles ».  Mais, tout le monde en Occident reste silencieux là-dessus.  Silencieux parce qu’aucun ne sait comment sortir de cette situation.
Si vous expliquez au public occidental tous les détails du désastre économique à venir, le public posera aux promoteurs du monde du pétrodollar les plus horribles questions, qui ressembleraient à ceci :
◾Combien de temps l’Occident pourra-t-il acheter du pétrole et du gaz naturelà la Russie en échange d’or physique ?
◾Et, qu’arrivera-t-il au pétrodollar US, après que l’Occident aura épuisé tout  son or physique pour payer le pétrole, le gaz naturel et l’uranium de la Russie, ainsi que pour payer pour des marchandises chinoises ?
Aujourd’hui, personne en Occident ne peut répondre à ces questions, qui semblent pourtant bien simples.
Et cela, Mesdames et Messieurs, çà s’appelle, « Échec et Mat ».  Et, la partie est terminée.
Source : http://www.mondialisation.ca/echec-et-mat-le-piege-en-or-de-vladimir-poutine-global-relay-network/5421592
Traduit par PLEINSFEUX.ORG

Préparations de guerre!

"Ne vous y trompez pas, elle arrive et plus vite que ce que l'on pourrait penser! Mais dans toute ces choses, sachons lever les yeux au ciel. Notre délivrance approche! Du moins pour ceux qui ont la foi dans le Fils de Dieu "
 Le Général Mikhail Mizintsev a dit : « La création du Centre National de Contrôle de la Défense a été un des plus grands projets militaires de ces dernières années ».  Mikhail Mizintsev est le chef du nouveau site militaire, qu’il a admis avoir été construit « dans l’intérêt de la guerre ».



Alors que le président Barrack Obama continue à réduire la taille de notre arsenal militaire et nucléaire, Vladimir Poutine l’augmente.  Nous aurons de la chance si nous ne nous retrouvons pas en plein milieu de la Troisième Guerre Mondiale avant la fin de la présidence d’Obama. La Russie s’emploie à construire ses actifs nucléaires de sorte que, lorsque le temps arrivera de mener une guerre nucléaire à grande échelle contre les États-Unis, ils seront au plus haut niveau.  Infowars rapporte qu’en 1967 l’armée américaine possédait plus de 31000 ogives nucléaires stratégiques.  Maintenant nous n’en avons que 1642 déployés, et ce nombre est prévu pour être réduit à environ 1500. L’idée de « destruction mutuelle assurée » n’est pas aussi convaincante lorsque l’arsenal nucléaire de la Russie dépasse de loin notre propre arsenal.
Pourtant, Le président Barrack Obama voudrait nous imposer un autre inconvénient en réduisant notre arsenal d’ogives nucléaires à seulement 300. Pendant ce temps, la Russie développe des systèmes furtifs qui pourraient détruire des cibles à l’intérieur des États-Unis quelques instants après avoir été libérés.  En outre, les nouveaux systèmes des sous-marins russes ont la capacité d’aborder nos côtes sans être détectés.  Il est tout à fait possible qu’ils soient en place en ce moment même, à l’insu de la sécurité intérieure.
Infowars a révélé :
« Si les Russes venaient à la conclusion que la guerre avec les États-Unis était inévitable, une première attaque écrasante en utilisant des missiles à partir des sous-marins pourrait presque détruire totalement notre arsenal avant même que nous sachions ce qui nous a frappé.  Et si les Russes possèdent un système anti-missiles balistiques qui peut intercepter le nombre limité de missiles que nous pouvons lancer en retour, ils pourraient être en mesure de s’en échapper relativement indemnes. »
Le président Barrack Obama a paralysé nos défenses nationales et a mis sous tension les relations avec Vladimir Poutine.  Il nous a mis dans une situation très compromettante en mettant en danger le bien-être des Américains à l’échelle nationale. Les effets d’une guerre nucléaire avec la Russie seraient catastrophiques.  Êtes-vous prêt ?
Source : http://mrconservative.com/2014/11/53000-russia-preparing-for-nuclear-war-with-the-united-states/
 
Traduit par PLEINSFEUX.ORG
 
Publié par : Ivan Thévoz

mercredi 28 janvier 2015

Le livre qui annonce et décrit l'élément central de l'Histoire!

Le livre le plus lue dans le monde! Le livre qui retrace l'histoire, mais qui n'est pas dépassé pour autant. Un livre moderne et en avance sur son temps. Le livre le plus fiable et solide de tout les temps. Aucun autre livre n'est comparable! Ce livre, la Bible, la Parole de Dieu. Cette Parole qui demeure éternellement.
La Bible est le livre de la vérité!
Le livre qui annonce et décrit l'élément central de l'Histoire: Jésus Christ le Fils de Dieu!
 
"Si vous demeurez dans ma parole, vous êtes vraiment mes disciples;vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira." Jean 8:31

Jésus dit: "Je suis le chemin, le vérité, la vie; nul ne vient au Père, si ce n'est par moi" Jean 14:6

Le ciel et la terre passeront, mais les Paroles de Jésus ne passeront point. D'après Matthieu 24:35




 
Publié par : Ivan Thévoz
 

mercredi 31 décembre 2014

Metro Boulo Dodo

29200 jours de vie, 2,7 milliard de battement de cœur, 12ans de travail non-stop, 2700 jours devant la TV, 4150 weekend... Mais où cela nous mène-t-il?
 

 
Vidéo fait par les jeunes de l'Eglise de Jésus Christ de Siviriez
 
Publié par_ Ivan Thévoz
 
 

mercredi 17 décembre 2014

La physique et la Bible


Par Lambert Dolphin,

 

Le 104ème psaume est un hymne magnifique à la création qui complète bien les informations qui nous sont données dans la Genèse et ailleurs dans la Bible.  Ici, comme dans d’autres Écritures, l’origine de l’univers et de notre planète n’est pas décrite comme une explosion massive (comme un Big Bang), mais comme une série ordonnée d’événements où tout a été conçu par les mains d’un artisan, un Maître Constructeur.
Avant la chute
La terre après la création n’est nulle part décrite comme un endroit de volcans fumants, de fumées sulfureuses et de violents tremblements de terre.  L’apôtre Pierre dit tout simplement « …de même qu’une terre tirée de l’eau et formée au moyen de l’eau. » (2 Pierre 3: 5).  Le but de la création était de créer un environnement, un habitat pour l’homme.  En fait, l’univers a été conçu pour être géré et gouverné par l’homme (Genèse 1:26-31, Hébreux 2:6-8).  Tout cela a changé en ce qui nous concerne ; Adam a été déchu de sa place d’intendant de la création.  Le monde dans lequel nous vivons a été ruiné et la race humaine, dans sa rébellion permanente contre Dieu, continue à exiger les interventions de Dieu quand Il appelle les hommes devant les tribunaux du jugement.  Le dernier jugement majeur de Dieu était le Déluge de Noé et ce grand désastre était en fait, il n’y a pas très longtemps, dans l’histoire de notre race.
Soixante et un pour cent de la surface de la terre aujourd’hui est effectivement de l’eau et les océans ont en moyenne 3,8 kilomètres de profondeur.  Seulement 29 pour cent de la surface de la terre est terrestre, dont l’élévation moyenne est seulement de 623 mètres !  Si tous les continents et les terres émergées étaient rasés dans la mer à l’aide d’un bulldozer géant, près de deux miles d’eau recouvriraient la totalité de notre terre.  Les glaciers et les calottes glaciaires détiennent environ deux pour cent de l’eau de la terre ; S’ils devaient tous fondre, le niveau des mers dans le monde augmenterait de 40 mètres et ce serait un gros problème pour de nombreuses grandes villes situées au niveau de la mer si cela devait arriver. L’atmosphère terrestre d’aujourd’hui détient environ deux pouces de l’eau précipitable et ceci est constamment renouvelé par le cycle hydrologique.
 Avant le déluge
La terre d’avant le déluge de Noé était un endroit très différent !  Nos longues années de lavage éducationnel de cerveau dans la mythologie de la théorie évolutionniste et de la théorie de la terre vieille nous ont endormis envers le témoignage clair de la Bible que l’intervention de Dieu dans les affaires humaines à l’époque de Noé, le dixième homme depuis Adam, a changé les choses pour toujours sur notre planète.  Puisque les chronologies de l’Ancien Testament sont en fait tout à fait complètes, nous pouvons dater le Déluge probablement entre 2500 et 3400 avant Jésus-Christ en fonction de notre choix du texte hébreu massorétique ou de la Septante grecque de l’Ancien Testament, respectivement.  La terre d’avant le Déluge semble avoir possédé un climat sub-tropical uniforme.  Il n’y avait probablement aucune pluie, pas de glace et de neige, et aucun grand changement saisonnier.  (Par exemple, des fossiles de palmiers ont été trouvés en Alaska, des mammouths des climats chauds congelés en Sibérie et du charbon en Antarctique.) Les océans auraient été beaucoup plus chauds, et les rivières et les ruisseaux de la terre pouvaient certainement provenir de sources puissantes, comme la source qui alimentait les quatre fleuves de l’Éden.
 Je souscris personnellement à un modèle de canopée de vapeur dans l’atmosphère de la terre avant le déluge, qui aurait pu fournir un effet de serre pour un climat doux dans le monde entier.  Mais, les modèles de canopée de vapeur sont très limités par les considérations thermodynamiques de base.  Dans son étude classique, Joseph Dillow a suggéré une pression atmosphérique avant le Déluge au niveau de la mer à deux fois la valeur actuelle, une grande aide pour le Pteranadon, un reptile volant disparu, qui ne pourrait probablement pas décoller du sol dans l’atmosphère d’aujourd’hui.  Mais, trop de vapeur d’eau dans la haute atmosphère, avant le Déluge, aurait obscurci les étoiles, et même le soleil et la lune en raison de la couverture nuageuse perpétuelle.  Et, pour que l’atmosphère puisse soutenir le poids supplémentaire de la vapeur d’eau, la température de surface de la terre aurait du augmenter rapidement vers le point d’ébullition de l’eau.  La condensation de la vapeur d’eau pendant de très lourdes pluies prolongées aurait libéré d’énormes quantités de chaleur latente de condensation.
Cependant, en dépit de ces difficultés, un modeste couvert de vapeur, contenant peut-être 40 pieds d’eaux de pluies, peut avoir existé avant le déluge du Déluge.
Le Déluge
La plupart des eaux pour le grand Déluge de Noé provenaient de ce qu’on appelle les « sources du grand abîme » (Genèse 07:11).  Cette source d’eaux est mentionnée avant la pluie provenant des « écluses des cieux ».
Lors de la formation de la terre pendant les deuxième et troisième jours de la création, de grandes quantités d’eaux ont évidemment été placées entre la croûte et le manteau de la terre dans ce qu’on pourrait appeler des réservoirs souterrains géants.  Cette eau était probablement sous très haute pression pour commencer, causant ainsi une abondance de sources artésiennes et des geysers, mais, après la chute de l’homme et des anges, lorsque certains éléments atomiques lourds ont apparemment été rendus instables par la réduction des forces de liaison nucléaire, faisant en sorte que la décroissance radioactive commence, les isotopes avec une vie plus courte auraient très bien pu chauffer la sous-surface jusqu’au point de criticité où ils pouvaient à peine être contenus par la force de la croûte sus-jacente. Nous en avons déjà parlé comme une cause possible de l’explosion d’une planète où se trouve maintenant la ceinture d’astéroïdes.
Une activité volcanique intense peut avoir eu lieu à la même époque, les fontaines du grand abîme étant ainsi ouvertes et les cendres volcaniques étant projetées dans la stratosphère, la canopée de vapeur pourrait s’être effondrée en dispersant des noyaux de condensation autour desquels les gouttes de pluie se forment.
 [Par ailleurs, le compactage gravitationnel de la terre au moment de la formation de la terre n'aurait pas élevé la température intérieure à plus de 1000° C, pourtant, la température du noyau actuel de la terre étant d'environ 4300 degrés, a évidemment fondu et a été renversé dans le passé.  On croit qu'un chauffage radioactif aurait fourni l'énergie supplémentaire nécessaire.]
Le Déluge du temps de Noé était certainement un acte direct de jugement par Dieu sur un monde devenu complètement et continuellement maléfique :
« L’Éternel vit que la méchanceté des hommes était grande sur la terre, et que toutes les pensées de leur cœur se portaient chaque jour uniquement vers le mal.  L’Éternel se repentit d’avoir fait l’homme sur la terre, et il fut affligé en son cœur.  Et l’Éternel dit : J’exterminerai de la face de la terre l’homme que j’ai créé, depuis l’homme jusqu’au bétail, aux reptiles et aux oiseaux du ciel ; Car je me repens de les avoir faits. »   (Genèse 6:5-7)
Puisque Dieu est en plein contrôle de la nature, il n’y a pas « d’accident » dans l’univers de Dieu, les mécanismes exacts que le Seigneur a utilisés pour initier le Déluge ne doivent pas préoccuper notre attention.  Les modèles scientifiques pour les processus géophysiques qui ont accompagné le Déluge ont été présentés lors de trois conférences internationales sur la création à Pittsburgh ; Les procédures sont disponibles et hautement recommandées.  Le livre exceptionnel du Dr Walter Brown sur le Déluge, qui peut être trouvé sur internet, se concentre surtout sur les mécanismes possibles pour que les portes des fontaines du grand abîme s’ouvrent.
Le Déluge était-il mondial ?
La langue hébraïque a plusieurs mots pour décrire les inondations ordinaires, mais, Genèse 7-11 utilise le mot unique mabbul (qui se trouve seulement ailleurs dans le Psaume 29:10).  Quand les érudits hébreux ont traduit l’Ancien Testament en grec, ils ont choisi le mot grec kataklusmos, du verbe « inonder », à la place du mot hébreu mabbul.  Tout le langage de la Genèse, et surtout les paroles de l’Apôtre Pierre, nous donnent l’image la plus claire possible d’un désastre cataclysmique, mondial et universel duquel seulement huit êtres humains ont pu s’échapper. Avertissant au sujet des faux enseignants et des sceptiques volontaires, Pierre nous dit :
« Car, si Dieu n’a pas épargné les anges qui ont péché, mais s’il les a précipités dans les abîmes de ténèbres et les réserve pour le jugement ; S’il n’a pas épargné l’ancien monde, mais s’il a sauvé Noé, lui huitième, ce prédicateur de la justice, lorsqu’il fit venir le déluge sur un monde d’impies ; …..sachant avant tout que, dans les derniers jours, il viendra des moqueurs avec leurs railleries, marchant selon leurs propres convoitises, et disant : Où est la promesse de son avènement ?  Car, depuis que les pères sont morts, tout demeure comme dès le commencement de la création.  Ils veulent ignorer, en effet, que des cieux existèrent autrefois par la parole de Dieu, de même qu’une terre tirée de l’eau et formée au moyen de l’eau, et que par ces choses le monde d’alors périt, submergé par l’eau, tandis que, dans la même parole, les cieux et la terre d’à présent sont gardés et réservés pour le feu, pour le jour du jugement et de la ruine des hommes impies. »  (2 Pierre 2:4-5, 3:3-7)
Noé et ses fils (et peut-être quelques hommes de main) avaient probablement moins de 76 ans pour construire l’arche dans laquelle la famille de Noé et les animaux sélectionnés devaient se réfugier du Déluge.  Nous connaissons la taille de l’Arche à partir de Genèse 6:14-16, et de nombreux beaux livres ont été écrits dans les récentes années qui analysent la conception et la pertinence de cette énorme barge. L’Arche aurait atterri sur les Monts Ararat dans l’est de la Turquie après le Déluge.  Plusieurs incroyables expéditions de recherches ont été lancées dans notre siècle, mais, toutes ont jusqu’à présent été peu concluantes.
Il n’y avait aucun besoin de travailler pendant de nombreuses décennies à la construction d’un bateau pour échapper à une simple inondation locale ; Ils n’avaient qu’à aller jusqu’à une vallée voisine ou à une montagne des environs et ceci aurait été suffisant.  De même, une simple inondation locale n’aurait pas exigé un plan aussi élaboré pour sauver les représentants des espèces animales.
Les Écritures sont claires.  Le but du Déluge était de juger et de détruire une civilisation humaine maléfique et complètement décadente, qui comptait probablement quelques milliards d’individus, avec leurs villes et toutes leurs infrastructures.
Noé n’a pas échappé parce qu’il était irréprochable (justifié par sa foi comme nous le sommes), mais, parce que lui (et sa famille) ont répondu à la miséricorde et à la grâce de Dieu.  Un bon nombre d’autres personnes qui ont vécu entre 1655 et 2255 avant Jésus-Christ, entre Adam et Noé, ont sans doute répondu à l’évangile prêché par Adam, par Enoch, et par d’autres qui connaissaient le Seigneur.  Mais, au moment du Déluge, tout le monde « civilisé » était apparemment devenu totalement insensible à l’offre gratuite du salut de Dieu.  Noé, le fou, a continué la construction de son bateau bizarre sur la terre sèche, loin de tout océan, et dans un pays où il ne pleuvait jamais!  Il a probablement subi de constantes moqueries, le mépris et le ridicule, jusqu’à la fin.  Les amis de Noé étaient invités à trouver refuge sur l’Arche par leur foi en Dieu, mais, aucune autre personne n’a cru aux avertissements clairs de Dieu.
« Tout ce qui se mouvait sur la terre périt, tant les oiseaux que le bétail et les animaux, tout ce qui rampait sur la terre, et tous les hommes.  Tout ce qui avait respiration, souffle de vie dans ses narines, et qui était sur la terre sèche, mourut.  Tous les êtres qui étaient sur la face de la terre furent exterminés, depuis l’homme jusqu’au bétail, aux reptiles et aux oiseaux du ciel ; Ils furent exterminés de la terre.  Il ne resta que Noé, et ce qui était avec lui dans l’arche.  Les eaux furent grosses sur la terre pendant cent cinquante jours. »   (Genèse 7:21-24)
L’Arche a finalement atterri pendant le même jour du calendrier hébreu que Jésus-Christ serait ressuscité des morts, trois millénaires plus tard dans l’histoire, en tenant compte du changement dans le calendrier dans Exode 12.  Les cavernes souterraines du grand abîme se sont effondrées, de sorte que les eaux se sont retirées dans ce qui est maintenant nos bassins océaniques profonds.
Avec le poids énorme de toute l’eau retirée de la terre, le relèvement isostatique a permis à de grandes montagnes, coiffées de sédiments, de « flotter » sur le manteau sous-jacent sous la croûte terrestre.  (Les montagnes d’avant le déluge étaient  probablement beaucoup plus basses qu’elles le sont aujourd’hui.)  Les graines ont germé, la vie a repris, et Noé et sa famille ont quitté l’Arche pour repeupler la terre sous une nouvelle alliance avec Dieu (Genèse 8: 8-9:17).  Quatre hommes et quatre femmes, qui connaissaient et aimaient le Dieu vivant personnellement, ont commencé à repeupler la terre.  Ils ont recommencé avec seulement les maigres ressources et les animaux de l’Arche, plus la grâce généreuse de Dieu.
Après le Déluge
Après le Déluge, le climat était maintenant très différent, en supposant  l’effondrement de la canopée de vapeur.  Un âge de glace a suivi.  L’unique continent d’origine de la Terre s’est rompu et s’est écarté (une dérive des continents rapide), soit pendant le Déluge où, comme certains le croient, pendant les jours de Peleg, peut-être de 100 à 600 ans plus tard.  Les dinosaures, autrefois contemporains des hommes, se sont rapidement éteints, très probablement à cause d’une catastrophe séparée peu de temps après le Déluge.  Les tempêtes, les catastrophes naturelles et les grands changements climatiques saisonniers ont également fait leur apparition durant les années qui ont suivi le Déluge.
Tout était différent, mais, la vie a survécu, a récupéré et a proliféré.  Les grandes civilisations ont été construites à nouveau dans l’espace de seulement plusieurs centaines d’années.
Le mois prochain, notre plan est de regarder les statistiques de la population mondiale et des taux de croissance à la fois pour le monde antique et dans les dernières centaines d’années, surtout guidé par les vastes connaissances antédiluviennes accumulées par les huit survivants du Déluge avec des durées de vie de plus de 300 ans et les vastes expériences des peuples d’après le Déluge avec des longévités semblables.  Les mathématiques et des données de recensements nous amènent à une conclusion inéluctable : Notre terre a sûrement de nouveau atteint un moment critique dans le calendrier des événements de Dieu pour l’histoire du monde.  Un autre jugement grand et terrible se profile certainement juste devant nous.  Comme Dieu a fourni une Arche de Refuge dans les jours de Noé, Il nous invite également tous à trouver un abri éternel et un refuge dans une relation personnelle avec son Fils, le Seigneur Jésus-Christ.  Nous sommes invités à venir « dans » le Corps du Christ par la foi et, par conséquent, trouver le secours et la vie éternelle.
« Ce qui arriva du temps de Noé arrivera de même aux jours du Fils de l’homme.  Les hommes mangeaient, buvaient, se mariaient et mariaient leurs enfants, jusqu’au jour où Noé entra dans l’arche ; Le déluge vint, et les fit tous périr.  Ce qui arriva du temps de Lot arrivera pareillement.  Les hommes mangeaient, buvaient, achetaient, vendaient, plantaient, bâtissaient ; Mais le jour où Lot sortit de Sodome, une pluie de feu et de soufre tomba du ciel, et les fit tous périr.  Il en sera de même le jour où le Fils de l’homme paraîtra. »    (Luc 17:26-30)
Et, le temps est compté !

 
Traduit par PLEINSFEUX.ORG
 
Publié par: Ivan Thévoz

mercredi 10 décembre 2014

L’hymne national suisse jugé trop chrétien!





La Société suisse d’utilité publique a lancé un concours visant à créer un nouvel hymne national pour notre pays. Le Cantique suisse serait démodé, ne correspondrait pas à la réalité de notre pays et devrait être dépoussiéré…
Derrière ces arguments, il est clairement question d’une attaque contre la teneur chrétienne de ce cantique. Pour mémoire, on rappellera qu’une motion avait été déposée au parlement en 2004 déjà pour moderniser le chant national. Selon les arguments invoqués dans la motion, le cantique serait « dépassé » à cause de l’image patriarcale, nationale de Dieu, et le caractère de prière.
La motionnaire affirme également que nous savons quel rôle a joué la religion dans le nationalisme occidental: la quasi totalité des Etats-nations se sont réclamés d’une divinité qu’ils ont instrumentalisée à leur profit; la conception nationale-religieuse d’un « Dieu dans la patrie » est isolationniste. Cette vision est mise en lien avec les conséquences catastrophiques du nationalismes de ces 150 dernières années.
La religion chrétienne, qui caractérise la Suisse à l’époque de sa création, devrait ainsi être oubliée dans l’hymne national. Elle serait responsable des horreurs du siècle dernier.
Nous nous opposons fermement à une telle vision. La Suisse a été créée sur des principes chrétiens, il faut pouvoir le rappeler aujourd’hui et demain au moyen de notre Cantique. Si nous acceptons de renier l’origine de la Confédération dans l’hymne national, c’est la croix du drapeau qu’il faudra enlever par la suite. Ne cédons pas encore une fois, osons conserver ce texte magnifique.
 
Paroles du Cantique suisse:
 

Sur nos monts, quand le soleil
Annonce un brillant réveil,
Et prédit d’un plus beau jour le retour,
Les beautés de la patrie
Parlent à l’âme attendrie;
Au ciel montent plus joyeux
Au ciel montent plus joyeux
Les accents d’un coeur pieux,
Les accents émus d’un coeur pieux.
 
Lorsqu’un doux rayon du soir
Joue encore dans le bois noir,
Le coeur se sent plus heureux près de Dieu.
Loin des vains bruits de la plaine,
L’âme en paix est plus sereine,
Au ciel montent plus joyeux
Au ciel montent plus joyeux
Les accents d’un coeur pieux,
Les accents émus d’un coeur pieux.
 
Lorsque dans la sombre nuit
La foudre éclate avec bruit,
Notre coeur pressent encore le Dieu fort;
Dans l’orage et la détresse
Il est notre forteresse;
Offrons-lui des coeurs pieux:
Offrons-lui des coeurs pieux:
Dieu nous bénira des cieux,
Dieu nous bénira du haut des cieux.
 
Des grands monts vient le secours;
Suisse, espère en Dieu toujours!
Garde la foi des aïeux, Vis comme eux!
Sur l’autel de la patrie
Mets tes biens, ton coeur, ta vie!
C’est le trésor précieux
C’est le trésor précieux
Que Dieu bénira des cieux,
Que Dieu bénira du haut des cieux.
 


Publié par : Ivan Thévoz