mercredi 10 décembre 2014

L’hymne national suisse jugé trop chrétien!





La Société suisse d’utilité publique a lancé un concours visant à créer un nouvel hymne national pour notre pays. Le Cantique suisse serait démodé, ne correspondrait pas à la réalité de notre pays et devrait être dépoussiéré…
Derrière ces arguments, il est clairement question d’une attaque contre la teneur chrétienne de ce cantique. Pour mémoire, on rappellera qu’une motion avait été déposée au parlement en 2004 déjà pour moderniser le chant national. Selon les arguments invoqués dans la motion, le cantique serait « dépassé » à cause de l’image patriarcale, nationale de Dieu, et le caractère de prière.
La motionnaire affirme également que nous savons quel rôle a joué la religion dans le nationalisme occidental: la quasi totalité des Etats-nations se sont réclamés d’une divinité qu’ils ont instrumentalisée à leur profit; la conception nationale-religieuse d’un « Dieu dans la patrie » est isolationniste. Cette vision est mise en lien avec les conséquences catastrophiques du nationalismes de ces 150 dernières années.
La religion chrétienne, qui caractérise la Suisse à l’époque de sa création, devrait ainsi être oubliée dans l’hymne national. Elle serait responsable des horreurs du siècle dernier.
Nous nous opposons fermement à une telle vision. La Suisse a été créée sur des principes chrétiens, il faut pouvoir le rappeler aujourd’hui et demain au moyen de notre Cantique. Si nous acceptons de renier l’origine de la Confédération dans l’hymne national, c’est la croix du drapeau qu’il faudra enlever par la suite. Ne cédons pas encore une fois, osons conserver ce texte magnifique.
 
Paroles du Cantique suisse:
 

Sur nos monts, quand le soleil
Annonce un brillant réveil,
Et prédit d’un plus beau jour le retour,
Les beautés de la patrie
Parlent à l’âme attendrie;
Au ciel montent plus joyeux
Au ciel montent plus joyeux
Les accents d’un coeur pieux,
Les accents émus d’un coeur pieux.
 
Lorsqu’un doux rayon du soir
Joue encore dans le bois noir,
Le coeur se sent plus heureux près de Dieu.
Loin des vains bruits de la plaine,
L’âme en paix est plus sereine,
Au ciel montent plus joyeux
Au ciel montent plus joyeux
Les accents d’un coeur pieux,
Les accents émus d’un coeur pieux.
 
Lorsque dans la sombre nuit
La foudre éclate avec bruit,
Notre coeur pressent encore le Dieu fort;
Dans l’orage et la détresse
Il est notre forteresse;
Offrons-lui des coeurs pieux:
Offrons-lui des coeurs pieux:
Dieu nous bénira des cieux,
Dieu nous bénira du haut des cieux.
 
Des grands monts vient le secours;
Suisse, espère en Dieu toujours!
Garde la foi des aïeux, Vis comme eux!
Sur l’autel de la patrie
Mets tes biens, ton coeur, ta vie!
C’est le trésor précieux
C’est le trésor précieux
Que Dieu bénira des cieux,
Que Dieu bénira du haut des cieux.
 


Publié par : Ivan Thévoz
 

samedi 29 novembre 2014

L'islam: une religion dangereuse!

L'islam à toujours été  une religion dangereuse. Mais cette fois l'on commence à voir ces effets en Suisse! Si cela n'est pas une menace, qu'est que c'est?
 
Autorité Suisse, jusqu'à quand fermerez vous les yeux à la réalité!
 
Publié par: Ivan Thévoz
Source trouvé:http://ripostelaique.com/suisse-apres-louragan-zemmour-pierre-cassen-a-ose-critiquer-ouvertement-lislam.html

jeudi 13 novembre 2014

He is..,.

Il est le ROI DES ROI! Le SEIGNEUR des seigneurs!
 
Publié par: Ivan Thévoz
 
Source:http://www.ellerslie.com/short-films/he-is

Ce qu'on ne vous a pas dit sur l'Astronomie



On vous a surement dit que les astronomes évolutionnistes avaient tout compris et que leurs modèles prouvent que notre système solaire s'est formé tout seul, il y a des milliards d'années.


Spike Psarris, ancien ingénieur du programme spatial de l'armée américaine, énumère les contradictions de la théorie évolutionniste concernant la formation de notre système solaire. Il soutient, même si cela ne constitue pas en soi une preuve de l'existence de Dieu, que le récit biblique cadre tout à fait avec les données scientifiques récoltées ces dernières années.






Suite:

Publier par Fabian

Des millions perscuter à cause de leur foi en Jésus Christ!

Des millions d'hommes, de femmes et d'enfants sont aujourd'hui encore persécuter à cause de leur foi en Jésus Christ!
 

 
 
Publié par Ivan Thévoz
 

mardi 14 octobre 2014

Je suis... la vérité

Moi, je suis la vérité

Jésus Christ seul peut affirmer qu'il est la vérité. “Moi, je suis… la vérité”. Cette phrase n'exprime pas seulement qu'il dit la vérité, mais bien qu'il incarne la vérité absolue.
Des vérités humaines, des affirmations idéologiques, notre monde en a connu de nombreuses. Au nom de telles “vérités”, on a tué, fait marcher des peuples, décimé des populations entières jusqu'à ce que les idéologies correspondantes soient remises en question. On les a alors remplacées par d'autres “vérités”, quelquefois plus humaines, mais toujours aussi subjectives et révisables. Que de prétendues vérités ont été trouvées en défaut! On comprend la remarque désabusée de Ponce Pilate: “Qu'est-ce que la vérité?” Ce gouverneur savait ce que valaient les “vérités” politiques. Mais il n'a pas voulu reconnaître qu'en Christ, la vérité incarnée était devant lui. Et il est parti sans attendre la réponse de Jésus, de manière à éviter de la regarder en face. Tragique attitude: il a perdu à cet instant l'occasion de la découvrir.
Dans le domaine religieux, des “vérités” s'affrontent et se contredisent. Aussi beaucoup de personnes en arrivent à dire: “L'important, c'est d'être sincère”. Et pourtant, on peut sincèrement se tromper…
Dans notre 21e siècle désabusé, Jésus Christ se présente, toujours le même: “Je suis le chemin, et la vérité et la vie”. Non pas une vérité périmée, d'il y a deux mille ans, mais la vérité absolue, qui échappe à toute mode, à l'usure du temps, à l'assaut des nouvelles idéologies.
Si vous avez soif de vérité, d'authenticité, écoutez-le.
 
Publié par : Ivan Thévoz
 
Source: la bonne semence

jeudi 25 septembre 2014

Je ne cherchais pas Dieu!

“Je ne cherchais pas Dieu. Il m'était indifférent. Pourtant mes parents avaient quitté les aises d'une vie confortable en Suisse pour être missionnaires. Ils vivaient une foi vigoureuse et joyeuse, fondée sur la Bible, lue et méditée en famille, et surtout obéie. J'admirais, je respectais, j'aimais mes parents. Mais leur religion ne m'intéressait pas…
En 1960, je quittais mon Afrique du Sud natale pour poursuivre des études d'histoire à la Sorbonne…
Je découvris l'affrontement sans merci, dans notre vieille Europe, de deux civilisations, celle de l'être et celle du paraître, celle des apparences (l'esprit de cour de toutes les époques – qui conquiert aujourd'hui les âmes par les charmes du petit écran) et celle des réalités temporelles, morales et spirituelles.
Un dimanche soir au milieu des années soixante, sur un quai de la gare de Neuchâtel, tout bascula… Je perdis d'un coup le sentiment même d'exister. La sensation de la présence de mon corps m'avait quitté…
Dans sa miséricorde, Dieu, en un clin d'œil, avait tiré le voile sur la vanité de ma vie, sur mon orgueil sans borne, en me montrant que le fruit, l'unique salaire du péché est la mort; que sans lui j'étais effectivement spirituellement mort. Il révélait en moi-même cette dépravation, cette privation de sens et de vie qui, jusqu'alors, m'avait fait horreur chez les autres.”
“Quiconque dans l'angoisse crie à Dieu, Dieu ne le délaissera jamais”. Cette parole de Dieu (Psaume 91. 15) ne me lâcha plus… Je me dis: “Tu ne sais pas tout. Peut-être Dieu existe véritablement”. Et, suivant l'exemple que donne Pascal – et que j'ignorais alors–, je fis mon propre pari. S'il n'existe pas, tu n'as rien à perdre. Mais, s'il existe, tu peux encore tout gagner… Je disais en gros ceci à Dieu: “Soyons clairs! Je ne crois pas en toi. Mais je ne suis pas omniscient. Si tu existes vraiment – ce dont je doute fort–, ce n'est pas à moi à te trouver. C'est à toi à te révéler à moi”.
Et, même à une foi aussi lacunaire, le Dieu tout-puissant répond. Rien ne se produisit de tangible. Mon état d'anéantissement persista encore de longs mois. Mais, dès cet instant, je basculai du monde du péché, dans le règne de la grâce. Pendant quinze longs mois, la conviction de mon état de péché devant mon Créateur saint et juste ne fit que grandir avant que, émerveillé, je découvre enfin que sa colère que je méritais, était tombée pour moi, à la croix de Golgotha, sur son Fils bien-aimé, notre Sauveur et Seigneur Jésus Christ.
C'est ainsi que le seul vrai Dieu, Créateur du ciel et de la terre, Soutien infaillible de sa création, Souverain législateur et Rédempteur de son peuple, s'est fait connaître à moi. Dans mon émerveillement je découvris que ce Dieu-là était entièrement digne de toute ma confiance; et que sa Parole écrite, la Bible, était vraie, totalement fiable.”

Extraits du témoignage de Jean-Marc Berthoud
 
Publié par: Ivan Thévoz
Source: la bonne semence