jeudi 30 janvier 2014

L'important n'est pas que l'homme ait marché sur la lune, mais qu'en Jésus, Dieu soit venu marcher sur la terre!

Car les choses invisibles de Dieu, savoir tant sa puissance éternelle que sa Divinité, se voient comme à l'œil par la création du monde, étant considérées dans ses ouvrages, de sorte qu'ils sont inexcusables. Romain 1:20

Interroge les bêtes, elles t'instruiront, Les oiseaux du ciel, ils te l'apprendront; Job 12:7

Où est le sage? où est le scribe? où est le disputeur de ce siècle? Dieu n'a-t-il pas convaincu de folie la sagesse du monde? 1 Corinthien 1:20

Il y a plus de quarante ans maintenant, le 20 juillet 1969, pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, un homme a posé le pied sur la lune. À ce sujet l'astronaute américain James Irwin a écrit: “L'important n'est pas que l'homme ait marché sur la lune, mais qu'en Jésus, Dieu soit venu marcher sur la terre”. Face à cette prouesse de l'homme, la présence de Dieu sur la terre il y a 2000 ans est un fait d'une tout autre portée.
À l'instant où Neil Armstrong a posé le pied sur le sol lunaire, la planète entière a connu un immense enthousiasme. Mais l'arrivée sur la terre du Fils de Dieu a été accueillie par la haine et l'hostilité de sa créature. L'homme, naturellement ennemi de Dieu, a rejeté l'Envoyé du ciel: on a cherché immédiatement à tuer Jésus.
Un homme sur la lune: ce fait a prouvé le haut degré de technologie auquel on était parvenu. Mais Jésus sur la terre a révélé tout à la fois la méchanceté du cœur humain et l'amour de Dieu à l'égard de l'humanité perdue. Marcher sur la lune a flatté l'orgueil des hommes. Mais la venue de Jésus Christ sur la terre, sa mort sur la croix et sa résurrection ont produit et démontré sa victoire éclatante et définitive sur le péché et la mort qui dominent l'humanité entière.
Que l'homme ait marché sur la lune ne change pas grand-chose à notre quotidien. Mais parce que Jésus Christ est venu sur la terre, il transforme entièrement la vie de celui qui fait appel à lui et le reconnaît comme son Sauveur.




Publié par Ivan Thévoz
 

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