samedi 22 février 2014

Avez vous la paix dans votre vie?

D'où tirez vous votre paix? Quand tout va bien, quand l'argent est à la banque, quand vous êtes encore jeune et beau ? Que se passe-t-il quand tout vient à s'effondrer ? Jésus est le prince de la paix. Celui qui vient à Lui, ne sera pas déçu! Repentez vous et venez à Lui!


 
Publié par: Ivan Thévoz
 

jeudi 13 février 2014

Un père en prison pour avoir refusé que leur fille suive un cours d’éducation sexuelle en primaire


Comme on le constate, le nouvel ordre sexuel se met en place, lentement mais surement...Bravo à ce père courageux pour être allé jusqu'au bout de ses convictions. Imposer une éducation sexuelle à des enfants de l'école primaire est scandaleux. Cette sexualisation précoce a déjà provoqué l'hospitalisation 6 enfants suite aux cours en Allemagne et le viol en réunion d'une enfant de 5 ans en Suisse. Fawkes

Enquête-débat:
Un père et une mère condamné à de la prison ferme pour avoir refusé que leur fille en primaire suive des cours d’éducation sexuelle. Cela se passe en Allemagne mais on a comme l’impression que cela pourrait se passer en France, surtout avec les socialistes au pouvoir… 





Source trouver:
Spread-the-truth777


Publié par 

vendredi 7 février 2014

La véracité et la puissance de la Bible

La Fin du Monde Corrompu & le Retour de Jesus-Christ

Il est venu dans le monde pour toi : Jésus-Christ, l'unique chemin

La véritable conversion à Dieu : au delà de toute religion - Ils témoignent

Le message de l'Évangile : une puissance de Dieu pour le salut de quiconque croit - Ils témoignent !

Le message de l'évangile: La bonne nouvelle!

Le vrai christianisme



Quelle idée avez-vous du christianisme et de l’évangile ? Peut-être ces mots vous rappellent-ils les massacres , les tortures , les humiliations perpétrés « au nom de Dieu » au cours de l’histoire , et cela vous révolte . Peut-être pensez-vous aux richesses énormes amassées par certaines communautés religieuses, et cela vous semble suspect. Peut-être connaissez-vous des « chrétiens » dont la conduite immorale vous scandalise. Nous voudrions vous dire que Dieu , le vrai Dieu de l’évangile , ne cautionne pas de telles choses . Des personnes qui portent le nom de chrétiens peuvent malheureusement être un miroir déformant du vrai christianisme. Alors ne vous arrêtez pas à l’image fausse qu’ils renvoient du Dieu Sauveur . Lisez l’histoire de Jésus Christ , le Fils de Dieu descendu du ciel pour montrer aux hommes l’amour divin . Ecoutez ce qu’il disait : « Aimez vos ennemis ; faites du bien à ceux qui vous haïssent ; bénissez ceux qui vous maudissent ; priez pour ceux qui vous injurient » . Ou aussi : « Bienheureux, vous pauvres, car à vous est le royaume de Dieu … Malheur à vous , riches , car vous avez déjà votre consolation » ; ou encore : « Il est impossible qu’il n’arrive pas de scandales ; mais malheur à celui par qui ils arrivent ! Mieux vaudrait pour lui qu’on lui mette au cou une pierre de moulin et qu’il soit jeté dans la mer , que de scandaliser un de ces petits » ( Luc 6.27,28,20,24 ; 17.1,2 ) . Si vous désirez connaître le vrai christianisme , allez à la source , lisez l’évangile !

Jésus lui dit: Moi, je suis le chemin, et la vérité et la vie; personne ne vient au Père si ce n'est pas moi. Jean 14:6

Sondez les Ecriture,... ce sont elles qui rendent témoignage de moi.
Jean 5:39

 
Publié par: Ivan Thévoz
 
Source: la bonne semence 2014

lundi 3 février 2014

OMS : la masturbation pour tous à la maternelle

 
 
Un rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) serait actuellement examiné par le gouvernement socialiste. Ce rapport propose notamment d’encourager la « masturbation enfantine » et de permettre à l’enfant d’exprimer « ses besoins, ses désirs » sexuels. La gauche idéologue au pouvoir, c’est maintenant !
Ce rapport immonde intitulé « Standards pour l’éducation sexuelle en Europe », a été rédigé en 2010 en russe et en anglais. Cette année, Santé sexuelle, un organisme suisse semblable à notre planning familial, a produit une traduction française de ce document. Depuis, le gouvernement socialiste, Najat Belkacem en première ligne, se penche sur ce document pour préparer le grand lavage de cerveau de nos enfants et permettre à l’école de les transformer en « hommes nouveaux », chers à toute dictature.
Évidemment, une pétition a été lancée pour dénoncer ce rapport.
Extraits choisis du document censé inspirer nos bons socialistes :
Pour les experts es pédagogie, il faut apprendre, de 0 à 4 ans, la « masturbation enfantine » et laisser l’enfant exprimer « ses besoins, ses désirs et ses limites », en termes de sexualité. Outil ludique suprême : on conseille de faire cela en « jouant au docteur » (SIC). DSK, Frédéric Mitterrand, Jack Lang et Daniel Cohn Bendit ne renieraient pas ce rapport…
Mais les auteurs préviennent nos bon socialistes qu’il faudra lutter contre les méchants fachos réactionnaires pour pouvoir promouvoir la sexualité à la garderie : « Ce programme se confrontera à une résistance fondée sur des peurs et des préjugés. » Pour lutter contre ces parents indignes, l’état devra proposer « une information objective, scientifiquement correcte », face aux pauvres « sources informelles » que sont les parents de l’enfant. Ce n’est donc plus à la famille mais à l’état d’offrir un cadre idéologique et morale. Du meilleur des mondes…
A quatre ans, quand ils ont bien appris « les différentes sortes de relations familiales » et qu’on les a encouragé à « explorer les différentes identités sexuelles », les gosses peuvent désormais découvrir « l’égalité entre les sexes » et surtout « l’amitié et l’amour envers les personnes de même sexe ».
A six ans, l’enfant doit maitriser les « différentes normes en matière de sexualité », on lui apprend également tout sur « l’éjaculation et les menstruations » et sur les « méthodes de contraception ». Il faut bien qu’un gamin de six ans sache mettre une capote si on veut que le monde aille mieux ! Évidemment, après avoir parlé de tout ça, il faut sensibiliser les gosses de 6 ans à la théorie du genre et qu’on leur apprenne l’ignominie des « rôles socialement associés aux genres ».
De 9 à 12 ans, l’enfant doit découvrir le Planning familial, les MST, les orientations sexuelles, tout en gardant en tête « l’influence des inégalités liées au genre » et la pression exercée par « le groupe, la culture, la religion, la loi ».
De 12 à 15 ans, il est temps de promouvoir l’avortement et la « grossesse dans les couples de même sexe » (???). PMA, GPA, don de sperme et prostitution seront les derniers angles de cette éducation sexuelle du futur.

Avec la génération de demeurés qu’ils nous préparent, on peut craindre que le PS ne dispose de nombreux électeurs d’ici une petite quinzaine d’années…
 
Publié par : Ivan Thévoz
 

Avortement : une épreuve vécue sans légèreté ni regret

 
 
 
Il est 9 heures du matin. Elle finit de s'habiller, se maquille, met du rose sur ses lèvres. Elle monte dans sa voiture, passe au laboratoire d'analyses chercher ses résultats et la carte de son groupe sanguin. Elle sait qu'en cas d'hémorragie, ça peut être utile.
Elle a faim.
Elle veut surtout fumer. Les nausées ne la lâchent pas, du matin au soir, comme si avant de partir, le bébé voulait lui rappeler qu'il est là, dans son ventre, du matin au soir. Elle veut fumer, même si elle a mal au coeur, même si elle a les mains qui tremblent, même si elle a envie de chialer, de hurler, elle veut un café juste pour pouvoir fumer sans vomir.
Lui veut tout ce qu'elle veut, tout ce qui peut lui faire plaisir, tout ce qui peut l'empêcher de pleurer. Sauf le garder. Mais un café, ça, il peut.
Il est près de midi. Ils remontent dans la voiture, il prend le plan, cherche la rue Nicolo, la guide. Elle trouve ça tellement glauque, lui qui la guide vers cette clinique où elle ne veut pas aller, pour avorter de cet enfant qu'il ne veut pas garder.
Lire aussi : «  Avortement : c'est la stigmatisation qui est à craindre  »

 PEUR QU'ELLE FASSE MACHINE ARRIÈRE

Première à droite, se trompe, ils reviennent en arrière, elle sent le point de non-retour approcher, doucement, sent les larmes qui commencent à monter, se mord les lèvres jusqu'au sang pour ne pas chialer. Ils se garent, entrent dans le hall de la clinique.
Bonjour, elle vient pour une interruption volontaire de grossesse (IVG) médicamenteuse. Une fois, deux fois, ils ne trouvent pas le code de facturation, sa carte vitale est dépassée, la secrétaire hurle. « Gigi, c'est quoi déjà le code de facturation pour l'IVG médicamenteuse ? » « Ben non, ça marche pas… »
Elle n'écoute plus, ne veut pas entendre, a envie de vomir encore, de pleurer toujours. Elle est écoeurée, par cette réceptionniste qui ne connaît pas ses codes, par lui qui n'ose plus la regarder, par le monde qui lui a expliqué que la raison voulait que..., par elle qui a cédé.
Il faut voir Mme M. Deuxième étage. Maternité.
Elle pleure. Il ne la regarde toujours pas. Il n'a qu'une peur : qu'elle fasse machine arrière, qu'elle garde cet enfant dont il ne veut pas, qui viendrait broyer sa vie de famille bien installée. Les portes de l'ascenseur s'ouvrent.
 Au choix : à droite, salle des naissances, à gauche, nursery. Elle se demande si c'est volontaire ou inconscient d'envoyer une femme qui vient se faire avorter à l'étage des accouchements. Elle pleure toujours.

ELLE EST SI FATIGUÉE

La sage-femme arrive, lui tend un verre d'eau. Lui demande de la suivre dans un bureau. Une table, deux chaises, pas de fenêtre. Rien. Il s'assoit à côté d'elle. Elle ne peut plus s'arrêter de pleurer.
Elle se demande ce qu'elle fout là. L'infirmière lui tend le formulaire qui atteste qu'elle est consentante. Elle signe. Un coup de tampon avec la date. Le 6 mai 2005, ce papier prouve qu'elle a voulu avorter. Lui n'a rien à signer.
Pourtant, c'est lui qui a décidé de le dégager, ce bébé, pas tellement elle, mais bon, c'est comme ça, juste une signature et un coup de tampon. Elle pleure toujours. Il ne la regarde toujours pas. Elle s'assoit. La sage-femme lui explique la marche à suivre. Elle va avaler ces trois cachets. Ça va décoller le foetus de l'utérus. Dans 48 heures, il faudra revenir pour prendre trois autres cachets, pour expulser le foetus.
 Elle conclut en lui disant de ne pas pleurer, allez, elle va avaler ces cachets et on n'en parle plus hein ? Elle ne fait rien le soir. Regarde un programme de télé-réalité, histoire de s'abrutir l'esprit. S'endort épuisée. Elle est si fatiguée depuis qu'elle est enceinte. Mais ça commence déjà à changer. Pour la première fois depuis longtemps, elle n'a pas de nausée. Elle sait qu'il est toujours là, dans son ventre.
Mais elle sent qu'il est en train de partir. Trois jours plus tard, elle connaît le chemin, les formalités administratives sont déjà remplies. Elle n'a qu'à aller au deuxième étage, à avaler ces trois cachets et à attendre. Le foetus est décollé. Il ne reste qu'à l'expulser. La gynécologue l'a prévenue que cela pouvait être légèrement douloureux. Elle en plaisante avec l'infirmière, elle se blinde.

PREMIÈRES DOULEURS

Elle s'est promis de ne pas pleurer. Elle n'est pas sûre d'y arriver. Elle entre dans cette chambre où elle va passer quatre heures à attendre. Elle écoute l'infirmière lui expliquer que, si elle veut uriner, elle doit le faire dans une bassine en plastique pour qu'elle puisse contrôler, au cas où le foetus serait expulsé en même temps.
Elle fait mine d'écouter, elle n'écoute plus rien, elle ne veut plus rien écouter. Elle tend la main. L'infirmière lui donne quatre cachets. « Les deux premiers, vous les avalez, les deux autres, vous les enfoncez dans le vagin. » Elle les casse en quatre pour les faire rentrer plus facilement.
 Les premières douleurs. Sournoises, lentes, qui montent, qui envahissent son ventre, son corps, sa tête. Des contractions. Lancinantes, violentes.
Pendant près de deux heures, elle va rester pliée, au début assise comme on lui a dit, puis couchée parce que la douleur est trop forte, et qu'elle ne supporte plus rien. Elle attend depuis deux heures. Elle appelle l'infirmière, lui demande des calmants, quelque chose, n'importe quoi pour ne plus avoir mal. Elle lui répond qu'elle ne peut pas faire grand-chose. « Vous croyez quoi, mademoiselle, que ça allait passer comme ça ? Et ben non, c'est que c'est pas rien quand même, hein ? Vous êtes en train d'avorter, alors forcément ça fait mal… »
Elle reste avec ses contractions qui la broient. Sa gynécologue l'appelle, lui demande de se lever, de marcher, d'aller monter et descendre les escaliers de l'hôpital pour faire descendre ce foetus qui s'accroche.

ELLE N'EST PLUS ENCEINTE



Elle se lève, se plie en deux, est traversée d'une contraction plus violente que les autres, fonce aux toilettes, n'a pas le temps de saisir la bassine en plastique, sent son corps s'ouvrir, quelque chose tomber, regarde au fond des chiottes, au milieu du sang, il y a un amas gluant.
Elle n'aurait jamais cru qu'il serait déjà si grand. Elle se met à hurler. Elle n'est plus enceinte. Elle n'a jamais regretté d'avoir avorté. Elle n'était pas « en situation de détresse » comme le voulait la loi Veil. Mais qui osera dire que c'était pour autant un IVG de « confort » ?
Elle ne connaît aucune femme qui parte avorter à la légère. Elle voudrait dire à ces messieurs qui pensent qu'il peut y avoir une banalisation de l'avortement que jamais un avortement ne sera une chose banale pour une femme.
Et que reconnaître que l'avortement est un droit, purement et simplement, sans condition ni jugement, quelle que soit la situation de la femme, est la moindre des choses que l'on puisse faire pour toutes celles qui, un jour ou l'autre de leur vie, y ont été ou y seront confrontées. Pour une femme sur deux en France.


 
Publié par: Ivan Thévoz
 
Source:http://www.lemonde.fr/idees/article/2014/01/23/une-epreuve-vecue-sans-legerete-ni-regret_4352868_3232.html

Une seconde chance dans sa vie

 Il est réservé aux hommes de mourir une seule fois, après quoi vient le jugement. Hébreux 9:27
 Pour ces personnes, leur vie n'a tenu qu'à un petit fil!
Et toi, es tu prêt si tu devais aujourd'hui rencontrer le Dieu Tout Puissant?
Serais tu sauvez ou perdu?
 
 

 
Publié par: Ivan Thévoz
 
Source:Source:http://vk.com/dashcam

dimanche 2 février 2014

Le secret le mieux gardé de l'enfer


Quel "Jésus" avez-vous reçu à votre conversion?
Quel "Jésus" présentez-vous aux autres aujourd'hui?
Il est temps de revenir au Jésus de la Bible et à une évangélisation scripturaire, sinon nous risquons d'envoyer des gens en enfer en leur donnant un Jésus qui ne les sauvera jamais de rien!



Publié par Tiffanie Godel 

samedi 1 février 2014

Théorie du genre : comment la première expérimentation a mal tourné


Dans les années 1960, un médecin néo-zélandais a expérimenté sur des jumeaux la théorie du genre, en convaincant les parents d'élever l'un des deux comme une fille. Une expérience aux conséquences dramatiques.

Alors que la polémique sur la théorie du genre ne cesse d'enfler, l'expérience tragique menée au milieu des années 1960 par son concepteur, le sexologue et psychologue néo-zélandais John Money, refait surface, comme le rapporte vendredi lepoint.fr. Une expérimentation souvent occultée par les disciples actuels des études du genre, car celle-ci, conduite sur deux jumeaux canadiens nés garçons, mais dont l'un d'eux sera élevé comme une fille, tournera mal.

Spécialiste de l'hermaphrodisme à l'université américaine Johns Hopkins, John Money définit dès 1955 le genre comme la conduite sexuelle qu'on choisit d'adopter, en dehors de notre sexe de naissance. Il étudie notamment les cas d'enfants nés intersexués pour savoir à quel sexe ils pourraient appartenir: celui que la nature leur a donné ou celui dans lequel ils seront éduqués. En 1966, des parents vont offrir au médecin controversé la possibilité de tester sur leurs propres enfants la théorie du genre. Les époux Reimer sont parents de jumeaux âgés de huit mois. Alors qu'ils souhaitaient les faire circoncire, l'opération a mal tourné sur l'un des deux bébés, Bruce, dont le pénis s'est retrouvé brûlé à la suite d'une cautérisation électrique. Son frère, Brian, a pour sa part échappé à l'opération.

Adolescence difficile:

Pour John Money, c'est l'occasion de montrer sur un modèle vivant que le sexe biologique n'est qu'un leurre. Il propose donc aux parents désemparés d'élever Bruce comme une fille, sans jamais lui révéler son sexe de naissance. Bruce, qui s'appelle désormais Brenda, reçoit d'abord un traitement hormonal, puis se voit retirer ses testicules quatorze mois plus tard. Désormais fille, «Bruce-Brenda» porte des robes et joue à la poupée. Pendant toute leur enfance, les jumeaux Brian et Brenda suivent un développement harmonieux, faisant de l'expérience du sexologue une réussite. Du moins c'est ce que John Money, qui garde un œil sur leur évolution en les recevant une fois par an, croit. Il publie d'ailleurs de nombreux articles sur le sujet, puis un livre en 1972, Homme-femme, garçon-fille, dans lequel il affirme que c'est l'éducation et non le sexe de naissance qui détermine si l'on est homme ou femme.

Mais si Brenda a vécu une enfance sans heurts, les choses se compliquent à l'adolescence. Sa voix devient plus grave et elle se sent attirée par les filles. Petit à petit, elle rejette son traitement au profit d'un autre à la testostérone. Car, au fond, elle se sent davantage garçon que fille. Désemparé, le couple Reimer avoue la vérité à ses enfants. Dès lors, Brenda redevient un homme, David, auquel on crée chirugicalement un pénis et retire les seins. Ce dernier se mariera même à une femme, à l'âge de 24 ans. Mais cette expérience identitaire hors norme a laissé des dégâts irréparables chez les jumeaux. Brian se suicide en 2002, David en mai 2004.


Source: http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/01/31/01016-20140131ARTFIG00151-theorie-du-genre-comment-la-premiere-experimentation-a-mal-tourne.php#xtor=AL-155


Publié par Tiffanie Godel