dimanche 13 octobre 2013

De la drogue à la vie

"Je suis né le 5 août 1970, à DENAIN, petite ville du Nord de la France, à une dizaine de Kilomètres de la BELGIQUE. Mon enfance fut assez calme, jusqu'à l'age de 11 ans. Quand arriva les années collèges je commençais à devenir instable. Je suis devenu très vite un cancre, Il faut dire que mes parents tenaient une société qui leur prenaient tout leur temps et ne leur permettaient pas de s'occuper de moi et de mon frère qui était lui pensionnaire depuis 6 ans déjà et que je connaissais à peine. J'étais donc livré à moi même dans ce monde d'adulte qui allait vite me rattraper."
Je demandais à mes parents de me mettre également en pension. Chose faite pendant deux ans, mais c'était également un échec scolaire, malgré, un curé qui m'aimait beaucoup et m'avait fait enfant de coeur, sans que je comprenne ce que Jésus avait fait pour moi. Je fut renvoyé de ce pensionnat à 13 ans pour avoir été pris à fumer dans les toilettes et avoir fugué avec quelques camarades. Mes parents me mirent ensuite dans un lycée technique pour y apprendre un métier. Je rentrais chaque soir chez moi, où je me retrouvais souvent seul. Je suis donc aller chercher de la compagnie dans la rue, où j'ai connu un groupe de jeune hard rocker. Toutes mes soirées et mes week-ends étaient désormais consacrés à eux et avec eux, l'alcool et la cigarette.
A 14 ans vint également mon premier joint de cannabis. Deux ans après, j'étais devenu accroc à ce genre de vie. N'ayant pas assez d'argent de poche pour me procurer mon hashich, je m'étais mis d'accord avec un dealer du coin. je vendais pour lui et je n'avais plus à me préoccuper de mon approvisionnement quotidien. Quand il y avait des descentes de Police dans le quartier, le cannabis disparaissait pendant un moment et on le remplaçait par de la colle à rustine que l'on respirait dans un sachet. Cà nous rendait fou. Après avoir inhaler ce produit, on ne maîtrisait plus notre corps, capable de tuer sans s'en rendre compte. Puis le cannabis revenait et le deal aussi.
Lorsque j'ai eu mon permis, à 18 ans, je décidais de me mettre à mon propre compte. Je volais de l'argent à mes parents, puis je me rendais en HOLLANDE, pays où le cannabis est légalisé, je prétextais à mes parents que j'avais besoin de leur voiture pour aller en discothèque et en fait, je me rendais dans ce pays, véritable paradis pour les drogués. Ma réputation dans ma ville était celui d'un voyou qui était craint, même par les adultes. Les gens se méfiaient de moi, je fréquentais les lieux de la délinquance et de la drogue aussi aisément que des promeneurs dans un parc public. Je me suis retrouvé une fois en garde à vue pour vol puis une seconde fois après une descente de Police dans le milieu de la drogue. Mais la Police n'avait rien pu prouver (Avec du recul, je crois que Jésus veillait déjà sur moi et qu'il préparait mon coeur). Ma vie était rythmée par cette drogue, mon coeur était endurci et triste, je ne croyais en rien, même pas à mes parents qui voyaient bien mon état, mais qui se sentaient incapable de réagir. La vie n'avait plus aucun sens pour moi. Elle ne valait plus la peine d'être vécu. "Voilà 5 ans que je me drogue et je ne m'en sortirai plus. J'en ai marre de survivre, je vais en finir."
Un samedi de janvier 1989, j'étais dans ma chambre, comme d'habitude, je me levais très tard car je vivais la nuit, c'était un début d'après midi, j'étais complètement écoeuré et démoralisé par cette fichue vie. TOC...TOC... ? quelqu'un frappe à la porte, j'entends une voix...C'est pas vrai, c'est ma cousine...Elle va encore me parler de son Jésus... ce jour là fût un véritable appel pour moi. Ma cousine venait de me dire que Jésus m'aimait et qu'il voulait changer ma vie...Moi le dur, le caïd, j'acceptais de me rendre le prochain samedi à une réunion de jeunesse et je reportais mon projet de suicide à plus tard...
Dès que je suis rentré à cette réunion, je sentais une présence étrange, jamais je n'avais ressenti celà. Quelqu'un voulait entrer dans ma vie... Durant cette réunion, ces jeunes se mirent à prier pour moi, à invoquer le nom de Jésus sur ma vie, puis l'un d'eux me dit "Le Seigneur t'écoute, demande lui pardon pour tes péchés". Au moment où j'ouvris ma bouche, je fus complètement délivré, je pleurais toutes mes larmes, l'amour de Jésus me remplissait, il hota toute ma haine, j'étais devenu une nouvelle créature. Je suivais régulièrement les réunions .
Mais la semaine, tout mes anciens amis venaient frapper à la porte, je leur parlais de Jésus, ce qu'il avait fait pour moi. Pendant ce temps là, il se droguaient devant moi je n'étais encore qu'un bébé spirituel, si fragile. Le diable a eu vite fait de me reprendre et je replongeai de nouveau dans la drogue, mais cette fois, je montais d'un échelon. J'étais devenu héroïnoman, tout d'abord en sniffant l'héroïne puis en l'injectant en intraveineuse. Je devenais complètement dépendant de ce produit et recommençais mes voyages en Hollande pour m'en procurer.
Entre temps, je rentrais à l'armée pour effectuer mon service militaire le 4/12/1990. Lors d'une permission début janvier 91, je repartais en hollande où là, je fis une overdose, mais amis me ramenaient en France, où ils me cachaient, lorsque je me suis réveillé de mon comas, le dimanche soir, une partie de mon corps était paralysée, j'avais les yeux injecté de sang, je vomissais de partout. On me ramena chez moi, j'étais incapable de parler, je ne tenais pas sur mes jambes, l'une d'elle ne répondait plus. Mon père me coucha, et je réalisais que j'avais faillit perdre la vie, je me souvins de Jésus, ce qu'il avait fait pour moi il y a un an. Je lui deman dais donc de me libérer de cette drogue, et de ces mauvaises fréquentations que j'avais.
Le Seigneur ne tarda pas à répondre, le lendemain, je me réveillais, je retrouvais l'usage de mes membres et je ne ressentais aucun manque. Désormais le week-end, quand je rentrais de permission, c'était dans sa maison que j'allais et la semaine, après ma journée à la caserne, je me rendais à l'assemblée d'HAGUENAU en Alsace, où le pasteur Hubert LUTZ m'accueillait. (Il avait prié auparavant pour accueillir des militaires dans son église). Je pris mon baptême en octobre de cette année.
Dieu m'éloigna définitivement de mes fréquentations, car la première fois que je l'avais rencontré, il m'avait préparé au concours de Police que je réussi. Je partis ensuite à l'Ecole de Police de SENS puis je fus affecté au commissariat de CERGY PONTOISE. J'ai connu mon épouse à l'assemblée de Valenciennes, on se mariait le 1er octobre 1994, puis nous sommes partis en Région Rhône Alpes où, successivement, je fus à GIVORS en brigade anti criminalité pendant 4 ans, puis à VIENNE et enfin à ANNONAY jusqu'à ce jour. La vie de Policier chrétien n'est pas facile. Non seulement, nous sommes en contact direct avec la violence et la délinquance, mais en plus, nous devons une certaine disponibilité qui ne nous permet pas d'aller aux réunions tout les dimanches et malgré une famille chrétienne où tout les jours, avec nos trois filles, nous remercions le Seigneur, ce manque de nourriture spirituelle nous sèche la vie, en ajoutant à cela des mauvaises expériences, des mauvaises situations, nous tombons et pêchons facilement et le diable fait tout pour cela et s'en réjouit. Je demande encore pardon à mon Sauveur et mon Roi Jésus pour mes péchés. Après deux ans dans le désert spirituel, Jésus m'a remis sur la voie du Salut, 14 années après ma conversion, le Seigneur à répondu à ma prière.
Je m'occupe maintenant de prévention sur la toxicomanie et la délinquance dans les écoles. JESUS vit dans mon coeur, et malgré ce métier, où la haine règne dans les deux camps, moi je suis différent, Jésus m'a délivré de mes péchés et me permet d'avoir de l'amour pour les personnes que j'arrête. Je n'oublierais jamais que j'étais comme eux avant de connaître Jésus et que seul Mon Sauveur a changé le mal en bien. MERCI JESUS, JE T'AIME.
 
Laurent
 
 
 
 
Publié par : Salomé von Allmen

jeudi 10 octobre 2013

Lasers et ciel étoilé, timelapse féérique au sommet du Mauna Kea à Hawaï

Waouh!!!!
 
"Car les choses invisibles de Dieu, savoir tant sa puissance éternelle que sa Divinité, se voient comme à l'œil par la création du monde, étant considérées dans ses ouvrages, de sorte qu'ils sont inexcusables."

 
Publié par Ivan Thévoz
 
Source: www.rts.ch

mardi 8 octobre 2013

Jésus Christ est la seul vérité!

La grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ.
Jean 1. 17
(Jésus dit à son Père:) Sanctifie-les par la vérité: ta Parole est la vérité.
Jean 17. 17
Accéder à la vérité?
 

En juin 2011, le sujet de dissertation de l'épreuve de philosophie du bac technologique était: “L'art est-il un moyen d'accéder à la vérité?” Pour répondre à cette question, il faudrait commencer par examiner celle qu'a posée autrefois Pilate, le gouverneur romain en charge du procès de Jésus Christ: “Qu'est-ce que la vérité?” (Jean 18. 38). À deux mille ans d'intervalle, ces deux interrogations restent pour beaucoup sans réponse. La conclusion proposée dans un corrigé se garde bien de trancher: “Finalement ce que nous révèle l'art, ne serait-ce pas qu'il n'y a pas qu'une vérité et que ce que nous tenons pour vrai ne l'est pas nécessairement?”
Pourtant Dieu, lui que la Bible désigne comme “le Dieu véritable et la vie éternelle” (1 Jean 5. 20), a mis la vérité à notre portée. Jésus Christ est venu sur la terre pour nous dire: “Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie” (Jean 14. 6). Il était l'exacte révélation de Dieu le Père. Il nous a dit aussi la vérité concernant notre état moral. “Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs” (Matthieu 9. 13).
Mais Jésus dit encore: “Le Fils de l'homme a le pouvoir sur la terre de pardonner les péchés” (Matthieu 9. 6). Ne péchons-nous pas tous les jours? Nous avons tous besoin d'être sauvés du jugement et de la mort. Accéder à la vérité, c'est d'abord tomber d'accord avec Dieu sur ce constat, pour recevoir son pardon et sa grâce. Il nous permet alors de découvrir la réalité éternelle de ses plans d'amour pour les hommes, consignés dans la Bible.
Publié par: Ivan Thévoz
 
Source: la bonne semence

samedi 5 octobre 2013

La Bible certifiée par la science




 
 
 
Publié par : Salomé

Le livre qui lui faisait peur!

Bienheureux celui qui lit et ceux qui écoutent les paroles de la prophétie et qui gardent les choses qui y sont écrites, car le temps est proche!
Apocalypse 1. 3
 
 

Une personne malade à qui un visiteur chrétien proposait de lire un texte de la Bible, répondit: “Je veux bien, à condition que ce ne soit pas dans l'Apocalypse; c'est un livre qui me fait peur”.
Celui qui n'est pas en paix avec Dieu a raison d'avoir peur. L'Apocalypse est un livre de jugements, jugements terribles qui atteindront les hommes sans Dieu. Avenir terrifiant, qui nous invite à nous réconcilier avec Dieu avant qu'il ne donne libre cours à sa colère. Celle-ci va succéder à sa patience actuelle qui peut apparaître comme de l'indifférence vis-à-vis de l'injustice et de la souffrance.
L'heure est bien avancée à l'horloge du temps. Dans l'époque critique où nous vivons, Satan séduit les hommes qu'il entraîne à la perdition. Mais Dieu, qui connaît l'avenir, rappelle sans cesse par sa Parole que c'est aujourd'hui le jour du salut.
Ce livre vous effraie et à cause de cela vous ne le lisez pas? Votre attitude ne résout rien. Ignorer les avertissements n'a jamais supprimé les dangers. Oui, Dieu jugera le monde, mais il l'a d'abord aimé. Aujourd'hui, il vous offre sa grâce. Ouvrez ce livre, ouvrez les yeux. Écoutez l'appel ultime de Jésus, au début de ce livre: “Voici, je me tiens à la porte et je frappe: si quelqu'un entend ma voix et qu'il ouvre la porte, j'entrerai chez lui et je souperai avec lui, et lui avec moi” (Apocalypse 3. 20).
 
 
Publié par Ivan Thévoz
 
Source: la bonne semence

jeudi 3 octobre 2013

Les fanatiques



Texte de

Martin Niemöller (1892-1984)

Un homme dont la famille faisait partie de l'aristocratie allemande, avant la seconde guerre mondiale, possédait un certain nombre de grandes usines et de propriétés.  Quand on lui demandait combien d'allemands étaient de véritables nazis, il faisait une réponse qui peut guider notre attitude au regard du fanatisme.

« Peu de gens sont de vrais nazis, disait-il, mais nombreux sont ceux qui se réjouissent du retour de la fierté allemande, et encore plus nombreux ceux qui sont trop occupés pour y faire attention.  J'étais l'un de ceux qui pensaient simplement que les nazis étaient une bande de cinglés.  Aussi la majorité se contenta-t-elle de regarder et de laisser faire. Soudain, avant que nous ayons pu réaliser, ils nous possédaient, nous avions perdu toute liberté de manœuvre et la fin du monde était arrivée.  Ma famille perdit tout, je terminai dans un camp de concentration et les alliés détruisirent mes usines.»

La Russie communiste était composée de russes qui voulaient tout simplement vivre en paix, bien que les communistes russes aient été responsables du meurtre d'environ vingt millions de personnes.  La majorité pacifique n'était pas concernée.
L'immense population chinoise était, elle aussi, pacifique, mais les communistes chinois réussirent à tuer le nombre stupéfiant de soixante-dix millions de personnes.

Le japonais moyen, avant la deuxième guerre mondiale, n'était pas un belliciste sadique. Le Japon, cependant, jalonna sa route, à travers l'Asie du sud-est, de meurtres et de carnages dans une orgie de tueries incluant l'abattage systématique de douze millions de civils chinois, tués, pour la plupart, à coups d'épée, de pelle ou de baïonnette.
Et qui peut oublier le Rwanda qui s'effondra dans une boucherie.  N'aurait-on pu dire que la majorité des Rwandais était pour «la Paix et l'Amour»?

Les leçons de l'Histoire sont souvent incroyablement simples et brutales, cependant, malgré toutes nos facultés de raisonnement, nous passons souvent à côté des choses les plus élémentaires et les moins compliquées : les musulmans pacifiques sont devenus inconséquents par leur silence.
Aujourd'hui, des «experts» et des «têtes bien pensantes», ne cessent de nous répéter que l'Islam est la religion de la paix, et que la vaste majorité des musulmans ne désire que vivre en paix.  Bien que cette affirmation gratuite puisse être vraie, elle est totalement infondée.  C'est une baudruche dénuée de sens, destinée à nous réconforter, et, en quelque sorte, à diminuer le spectre du fanatisme qui envahit la Terre au nom de l'Islam.

Le fait est que les fanatiques gouvernent l'Islam, actuellement.  Ce sont les fanatiques qui paradent.  Ce sont les fanatiques qui financent chacun des cinquante conflits armés de par le monde.  Ce sont des fanatiques qui assassinent systématiquement les chrétiens ou des groupes tribaux à travers toute l'Afrique et mettent peu à peu la main sur le continent entier, à travers une vague islamique.

Ce sont les fanatiques qui posent des bombes, décapitent, massacrent ou commettent les crimes d'honneur.  Ce sont les fanatiques qui prennent le contrôle des mosquées, l'une après l'autre.  Ce sont les fanatiques qui prêchent avec zèle la lapidation et la pendaison des victimes de viol et des homosexuels.  La réalité, brutale et quantifiable, est que la «majorité pacifique», la «majorité silencieuse» y est étrangère et se terre.

Les musulmans pacifiques deviendront nos ennemis s'ils ne réagissent pas, parce que, comme mon ami allemand, ils s'éveilleront un jour pour constater qu'ils sont la proie des fanatiques et que la fin de leur monde aura commencé.

Les Allemands, les Japonais, les Chinois, les Russes, les Rwandais, les Serbes, les Albanais, les Afghans, les Irakiens, les Palestiniens, les Nigériens, les Algériens, tous amoureux de la Paix, et beaucoup d'autres peuples, sont morts parce que la majorité pacifique n'a pas réagi avant qu'il ne soit trop tard.

Quant à nous, qui contemplons tout cela, nous devons observer le seul groupe important pour notre mode de vie : les fanatiques.


Quand ils sont venus chercher les communistes, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.
Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas Juif.
Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas syndicaliste.
Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.
Et lorsqu'ils sont venus me chercher, il n'y avait plus personne pour protester.»

Texte de Martin Niemöller (1892-1984), pasteur protestant arrêté en 1937 et envoyé au camp de concentration de Sachsenhausen.  Il fut ensuite transféré en 1941 au camp de concentration de Dachau .  Libéré du camp par la chute du régime nazi, en 1945.

On ne peut s’empêcher de repenser à cette phrase de l’un de nos congénères
les plus éclairés, lui aussi allemand d’origine …
«Le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire.»
Albert Einstein

Publié par: Ivan Thévoz