mardi 16 juillet 2013

Bonjour, comment ça va?

J'ai appris à être content dans les situations où je me trouve. Je sais être dans le dénuement, je sais aussi être dans l'abondance;… je suis enseigné aussi bien à être rassasié qu'à avoir faim… Je peux tout en celui qui me fortifie.
 
Philippiens 4. 11-13
  
À cette question banale, on reçoit des réponses variées:
– En pleine forme, forcément, par ce beau temps!
– Très bien, c'est les vacances!
– Super, je viens de réussir mon examen!… Ou aussi:
– Comment veux-tu, avec ce sale temps!
– J'ai pas le moral le lundi matin; ça ira mieux vendredi soir…
– Ça va pas du tout, j'ai une terrible migraine!
Ces réponses démontrent que notre moral dépend fortement des circonstances. Tout le monde est de meilleure humeur quand le soleil brille. La plupart d'entre nous attendent avec impatience d'arriver au bout d'une semaine pour souffler. Ou encore mieux, aux vacances…
N'est-il donc pas possible d'être heureux, même un lundi matin pluvieux ou un jour ordinaire, sans événement particulier pour nous réjouir?
Écoutons un homme heureux, écrivant du fond d'une prison romaine: “J'ai appris à être content dans les situations où je me trouve”. Quel était le secret qui permettait à l'apôtre Paul de s'exprimer ainsi? Il se résume en une phrase: “Pour moi, vivre, c'est Christ” (Philippiens 1. 21).
Chrétiens, nous avons une raison de vivre heureux, un Sauveur qui peut illuminer nos lundis matins pluvieux ou nos journées les plus ordinaires. Il nous a aimés jusqu'à donner sa vie pour nous. Rien, personne, ne peut nous séparer de son amour (Romains 8. 35). Et bientôt nous serons avec lui pour toujours (Jean 14. 3). Demandons-lui de nous enseigner cette grande leçon que Paul avait apprise: “J'ai appris à être content”.
 
 
 
Publié par : Salomé von Allmen

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